Protection de la biodiversité et du sol

L’agriculture biologique consiste à exclure le recours aux différents produits chimiques de synthèse, les organismes génétiquement modifiés et la conservation des cultures par irradiation. En effet, l’utilisation des divers pesticides et engrais chimique peuvent favoriser la destruction rapide de la fertilité du sol. Ces produits chimiques sont surutilisés par l’agriculture industrielle vers la fin du XIXe siècle rendant ainsi à nos jours plusieurs hectares de sols infertiles. De l’autre côté, l’agriculture bio privilégie au maximum la fertilité du sol et la protection des plantes par l’utilisation des biopesticides. Les biopesticides sont totalement bio, ce sont des pesticides et des engrais dérivés des substances naturelles comme leurs noms l’indiquent. Par ces pratiques, elle permet de préserver la biodiversité en n’utilisant pas les divers moyens génétiques de synthétisation en laboratoire.

Amélioration du climat pour un avenir sain

Saviez-vous que la méthode de production des aliments qui se trouvent dans nos assiettes est aussi bénéfique pour le climat ? De manière directe, les émissions de protoxyde d’azote sont réduites grâce aux cultures des plantes légumineuses qui fixent naturellement l’azote dans le sol. Les carbones quant à eux sont fixés dans le sol grâce à l’élevage en plein air, cela compense par la même occasion les émissions de méthane des animaux. De manière indirecte, on peut éviter de contribuer à l’émission du dioxyde de carbone qui est primordial pour la fabrication industrielle d’engrais chimiques de synthèse en s’abstenant d’utiliser des engrais azotés chimiques. L’agriculture bio permet donc de lutter contre le réchauffement climatique en limitant les rejets polluants.

La relation eau – agriculture

Le rejet de ces différents produits chimiques dans le sol impacte aussi la nappe phréatique, donc sur l’eau. Lorsque vous utilisez des engrais biologiques pour la fertilisation des sols, l’azote d’origine organique se lie aux argiles du sol et est libéré sous forme de nitrate soluble diminuant ainsi les risques de lessivages. Indirectement, vous pouvez aussi réduire la quantité d’eau nécessaire à la fabrication des engrais chimiques.

Se poser les bonnes questions

Ouvrir et avoir son propre restaurant est une décision qui doit être murement réfléchie. Il est effectivement impératif que vous vous posiez les bonnes questions puisque ce secteur d’activité va bouleverser votre quotidien. En effet, le domaine de la restauration est à la fois exigeant et éprouvant. Vous devez également tenir compte de votre personnalité et de vos habitudes.
Par conséquent, demandez-vous si vous avez la motivation pour vous lancer dans cette aventure. Ensuite, il est important que vous soyez convaincu que vous êtes apte à vous occuper de la gestion de cette entreprise. Enfin, avez-vous les moyens financiers nécessaires pour mettre sur pied votre propre restaurant ?

Déterminer le concept

La seconde étape à réaliser lors de la création d’un restaurant est la détermination du concept de celui-ci. Bien que vous ne soyez pas obligé de plaire à tous les consommateurs, il est judicieux que vous disposiez d’un aspect qui vous distingue des autres. Vous devez à cet effet déterminer un concept pouvant répondre aux besoins de vos clients cibles.
Vous pouvez en premier lieu opter pour un concept en rapport avec votre localité, vos origines ou encore vos goûts. Mais, il est également possible que vous misiez sur concept ayant pour objectif de répondre à des demandes insatisfaites. C’est en fonction de ces paramètres que vous pourrez votre emplacement, les menus que vous allez proposer ou encore le nom de votre établissement.

Effectuer une étude de marché

L’étude de marché est une étape cruciale pour votre projet de démarrer un restaurant. Elle vous permettra d’avoir une vision sur la viabilité de celui-ci. Pour cela, vous devez analyser le secteur de la restauration dans votre localité ainsi que la notoriété de vos concurrents directs sur le marché. Cette analyse permet également de déterminer vos futurs fournisseurs ainsi que votre clientèle.

Savoir s’organiser

Bien s’organiser permet de réduire considérablement les dépenses alimentaires de la maison. Pour cela, vous pouvez préparer à l’avance les menus de la semaine. De ce fait, vous pouvez faire la liste des courses au préalable et n’acheter que les ingrédients nécessaires. C’est une organisation un peu militaire, mais très efficace.

Privilégier le fait maison

Vous pouvez privilégier le fait maison pour vos repas au travail. Un repas que vous avez conservé la veille ou que vous avez préparé tôt le matin sera préférable à un déjeuner au resto qui pèsera sur votre budget sur le long terme. L’autre avantage de cela est que vous savez ce que vous mangez, car vous l’avez préparé vous-même. Vous pouvez également privilégier des aliments frais comme les fruits, les yaourts, les légumes, etc.

Acheter des produits locaux

Au lieu d’aller dans les grandes surfaces, vous pouvez acheter aux marchés, chez les producteurs locaux. Les produits y sont très frais et le prix est nettement moins cher, donc c’est doublement bénéfique pour le porte-monnaie et pour la santé. Vous pouvez notamment y acheter des fruits et légumes de saison. Sinon, les produits à la coupe, comme le fromage, y est moins chers comparé aux préemballés.

Faire ses courses sur internet

Faire les courses sur internet permet de limiter les tentations incessantes dans les rayons et ainsi n’acheter que les essentiels, ce qui permet de réduire les dépenses. C’est aussi un bon moyen de comparer les prix avant d’acheter. Vous pouvez également comparer la qualité des produits, les marques proposées par les différents magasins et ainsi faire des économies sur l’achat. Enfin, faire les courses directement dans les centres commerciaux peut vous donner faim et ainsi vous aurez tendance à remplir votre caddie. En revanche, en restant à la maison et en faisant vos courses en ligne, vous pouvez y remédier.

Choisissez une alimentation variée

La base d’une bonne alimentation est de varier les aliments. Se focaliser sur un seul type d’aliment n’est pas la bonne méthode pour avoir une alimentation saine. L’idéal est de varier vos menus autant que possible dans la semaine. Profiter des produits de saison pendant leur période pour apporter encore plus de diversité à vos plats.

Mangez de tout

Le fait de bannir un aliment de votre alimentation peut entraîner des carences. Chaque assiette que vous consommez doit contenir sa part de lipides, de glucide et de protéine. Des produits industriels de temps à autre ne sont pas à exclure.

Buvez de l’eau

Il est essentiel de boire au moins 1,5 litre d’eau par jour. Les jus de fruit nature et les thés sans sucre peuvent être inclus dans cette quantité, mais pas les cafés et les thés noirs.

Lisez la liste des ingrédients

Lire la liste des ingrédients permet de savoir quels sont les apports qu’une denrée apporte. Cela vous permet aussi de déceler la présence d’éléments qu’il faut éviter.

Les matières grasses

Les graisses sont nécessaires pour l’organisme, mais pas n’importe quelle graisse. Il faut opter pour les bonnes graisses, par exemple celle contenue dans les huiles végétales pressées à froid. Et faites attention aux graisses cachées qui sont fréquentes dans plusieurs produits industriels.

Ne sautez pas les repas

Sauter un repas n’est jamais une bonne idée. Car si vous ne mangez pas suffisamment, vous pouvez avoir envie de vous suralimenter après. L’idéal est de prendre un petit déjeuner et un déjeuner équilibré et un repas léger la nuit.

L’alcool

Boire de l’alcool n’est pas interdit, quelques verres de temps en temps est même recommandé. Mais il faut le faire avec modération, trop d’alcool nuit à votre santé et réduit votre espérance de vie de façon considérable.

Les avantages écosystémiques de l’agriculture bio

Les produits bios sont bons pour la santé et sont non industriels, et donc moins polluants. Le fait de manger bio constitue déjà une contribution personnelle aux activités pro environnementales.
L’agriculture bio assure aussi la fertilisation du sol. Elle préserve l’écosystème ou le milieu écologique par la non-utilisation des intrants chimiques et d’OGM, au bénéfice des engrais organiques. Il y a également la protection de la faune et de la flore, qui est un autre intérêt, et qui a un lien avec la restauration de l’écosystème. La diversification de la faune développe en effet les espèces et favorise ainsi la pollinisation. D’autre part, la limitation de l’émission de CO2, par l’emploi d’intrants organiques, représente un bénéfice pour toute l’humanité. De plus, la culture de légumineuses réduit l’émission de NO2 en fixant dans le sol l’azote. L’agriculture bio renforce ainsi la séquestration du carbone et conserve la biodiversité aussi bien végétale qu’animale.
La préservation des sols et de tout ce qu’ils renferment, en évinçant les produits chimiques comme les engrais et les pesticides, reste alors un grand défi à relever pour les agriculteurs.

Les avantages socio-économiques de l’agriculture bio

Les productions agroalimentaires bios favorisent la dynamique du marché global. La commercialisation des produits bio anime, pour beaucoup, la vie économique locale. De nos jours, les filières bios tendent donc à représenter la potentialité économique nationale. Les consommateurs se ruent vers les produits agroalimentaires biologiques certifiés, pour éviter des produits industriels nocifs. L’agriculture bio a ainsi un impact positif sur l’environnement en permettant de limiter les rejets. Par ailleurs, elle génère des emplois directs, ce qui va diminuer le taux de chômage. L’économie d’eau et d’énergie est également un autre avantage. La production naturelle est privilégiée par rapport à la production industrielle. Cette dernière utilise des machines de production mises sous tensions en permanence. Par conséquent, la consommation d’énergie est surélevée.

Les avantages d’utiliser une crème solaire bio

L’utilisation des crèmes solaires bio offre plusieurs avantages. Ils vous protègent des rayons nocifs du soleil, notamment les UVA et les UVB. Ces dernières contiennent alors des filtres solaires qui assurent cette fonction protectrice. Ce système est tel qu’à la place de la peau, ce sont les molécules s’y trouvant à l’intérieur qui absorbent ces rayons dangereux. Pour les crèmes bios, ces filtres sont donc faits de minéraux tels que les oxydes de zinc ou de titane. Ils ne pénètrent pas dans la peau des personnes et agissent comme des réfracteurs de rayons UV. Ainsi, ils ne risquent pas de causer des allergies. Dedans, vous n’y trouverez pas de composants pouvant causer des perturbations endocriniennes ou des composants cancérigènes. Ces crèmes sont aussi nourrissantes et hydratantes. En outre, elles sont plus écologiques, biodégradables et contiennent peu de produits toxiques.

Les inconvénients des crèmes solaires bios

Bien qu’elles présentent plusieurs avantages, elles ont aussi ses lots d’inconvénients. D’abord, côté esthétique, elles n’assurent pas très bien, vu qu’elles ne pénètrent pas entièrement dans la peau et restent à la surface. Elles sont alors très visibles. En effet, elles laissent paraître sur la peau, une couleur plus blanche. Il se trouve même qu’elles sont moins efficaces contre les UV, car elles ne contiennent pas des filtres chimiques. En fait, les filtres minéraux sont moins efficaces contre les rayons solaires. Par conséquent, son efficacité est limitée. Par ailleurs, côté économique, elles présentent également quelques désavantages. Les crèmes bios sont justement plus coûteuses par rapport aux crèmes usuelles. Ainsi, les crèmes solaires sont indéniablement importantes en période estivale, et qu’importent les quelques incommodités pouvant être générées par les crèmes solaires bios, il est préférable d’en utiliser à la place de celles renfermant des produits chimiques.

1. Les aubriètes

Les aubriètes sont magnifiques à voir avec ses nombreuses petites fleurs bleues, rose-rouge ou violettes. Les insectes pollinisateurs en raffolent de cette plante. Ces végétaux vivaces sont de type nain avec une hauteur pas plus de 15 cm. Les aubriètes peuvent parfaitement convenir sur un muret en pierre, ce qui offre des feuilles et des fleurs avec un effet en cascade.

2. Les agaves

Il est difficile de résister aux agaves lorsque l’on parle de jardin de rocaille. Ces végétaux avec ses belles rosettes de feuilles charnues sauront mettre en valeur votre espace vert. Les jardiniers apprécient le plus l’espèce Agave americana pour sa forme imposante et majestueuse. En passant, il faut noter que les agaves font partie des végétaux monocarpiques. Autrement dit, la floraison n’a lieu qu’une seule fois dans leur vie. Par ailleurs, il faut attendre plusieurs années avant de pouvoir observer ses fleurs aux hampes florales gigantesques.

3. L’hélianthème

Facile à planter, l’hélianthème est un excellent choix pour un jardin de rocaille. Ce petit arbrisseau au port étalé possède des feuilles allongées et persistantes. Sa hauteur ne dépasse pas plus de 30 cm. Ses fleurs aux teintes lumineuses (orange, jaune, rose, rouge ou blanc) sont de véritables délices pour les yeux. Qui plus est, on peut observer ses fleurs sur une longue période, de mai à septembre.

4. Les géraniums de rocaille

Les géraniums de rocaille sont appréciés pour leurs longues floraisons. Les fleurs à cinq pétales peuvent avoir différentes couleurs, à savoir rose, bleu, blanc ou mauve. Il existe des espèces qui sont tout à fait acclimatées à une plantation en rocaille. On a par exemple le Geranium cinereum. Celui-ci a des feuilles vertes et des fleurs roses ou mauves veinées.

5. Le ciste

On a ici affaire à un petit arbuste portant des belles fleurs à cinq pétales blancs ou roses. Le ciste mettra en valeur votre rocaille en apportant un peu de hauteur. Comme les feuilles sont persistantes, votre arbuste conservera toujours sa beauté même en hiver.

6. La lavande

La lavande est une plante qui saura donner de la valeur ajoutée à votre jardin de rocaille. Elle nous renvoie souvent une image de la Provence et des jardins méditerranéens. Son magnifique feuillage gris argenté et ses fleurs aromatiques attirent les insectes pollinisateurs. La lavande tolère les substrats calcaires. Rustique, elle résiste aussi à une température négative jusqu’à -20 °C. Sa multiplication peut se faire par bouturage.

7. Le phlomis

Appelé aussi Sauge de Jérusalem, le phlomis est un végétal ayant des tiges dressées et des fleurs jaunes et verticillées. C’est une plante qui peut atteindre une hauteur de 1,30 mètre et qui est parfaite pour offrir à votre jardin de rocaille davantage de volume. Bien que ses feuilles vertes aient une apparence simple et douce, cette plante peut très bien supporter la sécheresse.

Le principe du binage

De façon générale, le binage consiste à ameublir et à casser la croûte de la terre. Le but est d’éliminer les mauvaises herbes et surtout réduire l’arrosage du jardin. Grâce au binage, vous facilitez l’arrosage et la pénétration de l’eau dans les racines des plantes. C’est la meilleure méthode permettant de bien aérer le sol.

Les meilleures périodes pour faire le binage

Le binage se pratique au début du printemps, après les dernières gelées. Pendant la saison d’été, vous pouvez effectuer le binage à plusieurs reprises. Il est plus facile d’effectuer le binage 2 ou 3 jours après l’arrosage ou après une bonne pluie. En hiver, il est quand même possible de biner le jardin. Le but d’un binage pendant l’hiver est de se débarrasser des parasites et des larves sous terre. Pour cela, il faut le pratiquer quand il ne gèle pas.

Comment passer à un binage efficace ?

Pour procéder à un binage réussi, il faut émietter et casser le sol d’environ deux centimètres de profondeur. Avec cette profondeur, vous ne risquez pas d’endommager les racines des plantes de votre jardin. Par contre, le labourage est de 20 à 30 cm de profondeur. Vous pouvez effectuer le binage sur toutes les surfaces du jardin sans crainte.

Quels sont les bons outils de binage ?

Posséder les bons outils de binage est une priorité pour avoir un jardin bien entretenu. Il vous faut une binette à manche longue avec une lame. La serfouette et la griffe à dents sont essentielles pour griffer la terre. Pour un travail efficace et pour se faufiler dans tous les rangs des légumes, optez pour la petite griffe à trois dents.

Confiez des tâches légères aux enfants

Pour inculquer facilement la pratique de la cuisine aux enfants, la meilleure solution est de leur confier des tâches légères dans la cuisine. Avec cette technique, ils sauront apprécier l’art particulier de ce dernier dès leur jeune âge. Vous pouvez leur apprendre de nouvelles choses qui sont utiles dans la cuisine. Par exemple, leur apprendre comment éplucher les légumes, casser des œufs, faire la vaisselle est indispensable. De cette façon, ils pourront les exercer eux-mêmes sans l’aide de quiconque. Confiez à vos enfants des tâches faciles mais qui peuvent contribuer au développement de leur passion pour l’art culinaire. Il faut aussi leur apprendre à concocter des repas qui sont faciles à préparer comme les nouilles instantanées, le riz et bien d’autres. En suivant ces divers conseils, vous allez voir qu’en grandissant vos enfants prendront plaisir à cuisiner.

Faites participer les enfants dans le choix de la recette

Effectivement, faire participer vos enfants dans le choix de la recette est très important pour leur inculquer facilement la pratique de la cuisine. En faisant participer vos enfants dans ce dernier. Ils pourront faire une découverte sur les meilleures combinaisons des différentes textures et saveurs. Faites-leur participer lorsque vous concoctez des repas. Et n’oubliez surtout pas de leur donner un petit coup de pouce. Par exemple, quand vous préparez de délicieux gâteaux, vos enfants doivent être présents et vous aider dans les moindres tâches. Ainsi, ils pourront découvrir que les aliments liquides peuvent devenir solides à la cuisson.

Bien cuisiner le chou

Avant toute chose, il faut préciser que les choux sont des légumes très nutritifs, car ils sont riches en fibres, en minéraux et en vitamines. Même si certaines personnes ne supportent pas leur odeur, ce sont des aliments peu caloriques qui ont de nombreuses vertus. Ils ont notamment des propriétés anticancéreuses. Pendant la préparation du chou, pour éviter la mauvaise odeur, vous pouvez ajouter un peu de jus de citron, du croûton de pain, une feuille de laurier ou une cuillerée de farine. Puis, pour faciliter la digestion, pendant la cuisson, vous pouvez ajouter à l’eau de cuisson un peu de bicarbonate de soude. Pour la cuisson des choux en général, vous pouvez utiliser une poêle ou une sauteuse et y mettre les choux coupés en julienne. Ensuite, faites-les faire revenir pendant environ 12 min tout en y ajoutant un peu de matière grasse. Vous pouvez aussi cuire les choux à la casserole dans de l’eau bouillante pendant environ 15 minutes. Une fois essoré, vous pouvez ajouter aux choux de la sauce, du vinaigre de vin, de xérès, de cidre, des fruits secs ou de la citronnelle. Si vous désirez cuire le chou au four, il vous suffit de les couper en grosses lanières et les faire cuire à 180 °C pendant 1 h 30 tout en y ajoutant un peu de matière grasse et un bol de bouillon. Vous pouvez également faire de la choucroute avec des choux fermentés salés et finement émincés.

Cuisiner chaque variante de chou

Il y a différentes façons de préparer chaque variante de chou. Pour le colrave qui existe en version violette, verte ou blanche par exemple, vous devez d’abord peler la peau fibreuse avant de le découper et de le tremper dans une sauce, puis de le savourer cru. Si vous désirez le cuire, vous pouvez le faire à la poêle ou à la vapeur pendant 5 à 10 min, l’essentiel est de le garder un peu croquant. Pour le chou rouge qu’on trouve surtout en Europe centrale et qui est doté de feuilles violet pourpre, on les mange de préférence cru en salade avec de la sauce et d’autres crudités. Pour le chou frisé qui est vert, vous devez faire en sorte qu’il garde sa couleur pendant la cuisson. Pour cela, vous devez mettre un peu de jus de citron ou de vinaigre blanc dans l’eau de cuisson. Vous pouvez cuire ce chou à la poêle ou dans une sauteuse. Pour cela, vous devez au préalable couper les choux en julienne, puis les faire revenir pendant 10 min tout en y ajoutant un peu d’huile. Enfin, avec le chou blanc, vous pouvez faire du farci ou des paupiettes ou cuire le chou dans une cocotte avec du canard, de la viande porc ou du poisson fumé.